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5 bandes dessinées débusquées au Salon du Livre de Montréal
Crédit: DC Comic

Le Salon du Livre de Montréal est la jungle littéraire la plus merveilleuse au monde. Malheureusement, c'est aussi la librairie où il est quasiment impossible de feuilleter un livre tranquillement. Pour faire ses achats, c'est donc le pire endroit. Par contre, c'est la meilleure façon de rencontrer des auteurs, découvrir les nouveaux titres des éditeurs que l'on aime et faire la connaissance de nouvelles bandes dessinées.

Au Salon du Livre, j'y découvre très souvent les bandes dessinées que je vais me procurer au courant de l'année. Voici une sélection coup de coeur des BD sur lesquelles je suis tombées.

 

 

 
1. East of West, Tome 1 : La Promesse

J'avoue que c'est la couverture qui m'a accroché le regard, mais on s'entend que l'histoire et l'univers où est campé East of West sont prometteurs. Un cavalier blanc parcourt un far-west anachronique et surnaturel en 2064. Il s'agit d'une épopée apocalyptique de l'auteur Jonathan Hickman. Trois tomes sont déjà parus. Une lecture très intense. On peut aussi la lire en ligne.

2. La Grande Noirceur de Philippe Girard
La Grande Noirceur est le 15e bouquin du bédéiste Philippe Girard. Il m'a plu parce qu'il traite évidemment de la grande noirceur, cette époque précèdant la Révolution tranquille. Les couleurs sont sombres et l'histoire est campée dans un Québec sous la tutelle de Duplessis.

3. Before Watchmen
Débuté en 2013, il semblerait que DC Comics ait senti la bonne affaire et ait décidé de lancer une série Before Watchmen qui explique un peu l'histoire entourant la formation de la bande de super héros inventée par Alan Moore. Plusieurs dessinateurs se partagent les cases des différents volumes. Très hâte de m'y plonger!

4. Hipster le chat de Guillaume Demers
WOW! Comment ne pas accrocher à ce titre et à cette couverture? Il suffit de lire le résumé pour être conquis par cette satyre : Hipster le chat. Il porte bien son nom. Hipster regarde la vie avec ironie et soigne son attitude et sa présentation. La vie urbaine lui va bien et ses amis et lui se sentent chez eux en ville. Swag, le pigeon stylé, domine la rue avec sa bande. Douche le chien aime bien prendre toute la place et s’aime beaucoup. Et ainsi de suite!

5. Moi, assassin de Antonio Altarriba et illustré par Keko
Traduit de l'espagnol et publié cet automne chez Denoël Graphic, Moi, assassin, raconte l'histoire d'Enrique Rodríguez Ramírez, un professeur d’Histoire de l’Art à l’université du Pays Basque. À 53 ans, il est à l'apogée de sa carrière. Mais il a une passion un peu étrange et très intense, dans laquelle il s'investit à 100% : l'assassinat, considéré comme un des Beaux-Arts. Un livre en noir, blanc et rouge.

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